De l'info sans infos...
jeudi 22 mars 2012
Il n’y a pas de mots pour décrire l’horreur des meurtres de ces derniers jours. La consternation, les hommages de la nation ont tentés d’exprimer l’émotion suscitée par les évènements. La campagne présidentielle qui occupait toute les ondes depuis des jours s’est effacée presque religieusement. Je n’aurai pas la prétention de penser qu’en tant que père, israélite de surcroit et ancien militaire je puisse être touché plus qu’un autre. Les mots du chef de l’état étaient justes : Ce sont nos enfants qui ont été tués.
Mohamed Merah, l’assassin de moins en moins présumé est mort. Au-delà de l’émotion, Je veux dénoncer le traitement de l'informations par l’ensemble des médias.